Au cours de cet exposé,  tout comme présenté dans le module un du cours d’art et thérapie de Madame Meurisse, nous pouvons constater une succession de mise à jour des visions dualistes et monistes des premiers temps avec tantôt un curseur préférentiel plus ou moins orienté vers l’âme , tantôt plus ou moins orienté vers le corps, tantôt encore vers une option tierce: mélange plus ou moins proportionnel de corps et d’âme.  Si l’influence de ces penseurs sur nos perceptions actuelles du corps n'est pas à ignorer, force est de constater qu’elle ne répond qu’en partie à mon interrogation: d’où provient ce malaise avec le corps? Pourquoi, malgré sa proximité et cette  tendance à sa valorisation, reste-t-il aussi inaccessible pour certains. La vérité, si tant est qu’elle existe,  n’est peut-être pas entièrement à trouver là. Thème complexe demande traitement multifocal. Pour obtenir un meilleur aperçu du concept, d’autres points de vue devraient, dès lors, être envisagés  tels que, par exemple,  le religieux, le politique, ou encore le culturel . Je me suis hasardée sur ces chemins. Je n’en ferai, néanmoins, pas état ici. En effet, j’estime que les éléments apportés jusqu’à présent suffisent déjà à une certaine compréhension de mon parcours ainsi que du sujet et que les arriérés socioculturels saupoudrés de-çi, de -là de technologies appauvrissant l’engagement sensori-moteur n’ajouteraient rien à la donne.